Bien qu'elle réalisa que l'objet n'était rien d'autre qu'un cercueil miniature, elle l'ouvrit. C'est alors qu'Anna la rejoignit.Anna : Diana ? Qu'est-ce que tu fais là ?... Diana ?! Diana : Je détiens l'objet qui conduira à ma vengeance... |
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Intriguée par le comportement étrange de son amie, Anna vint à ses côtés pour voir ce qu'elle tenait si précieusement dans ses mains. Ce n'était qu'une poupée de chiffon. Mais, elle compris avec horreur son utilité lorsqu'elle vit Diana enfoncer une longue aiguille au travers du corps de la figurine. |
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Une profonde douleur la paralysa sur place, tellement forte qu'elle ne pouvait même pas hurler. Sa tête était prête à éclater, un goût métallique emplissait sa bouche et un liquide chaud coulait sur son visage. Elle vit que du sang recouvrait ses mains. Ce n'était pas une poupée vaudou comme elle l'avait cru au début, puisqu'elle saignait. C'était rie que ça. Mais qu'était-ce ? |
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Elle leva les yeux sur Diana et ne put que lui envoyer une gifle de toutes les dernières forces qui lui restaient, avant de s'écrouler par terre. Inerte. |
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Diana repris alors ses esprits et vit ce qu'elle avait fait. Comment ? Elle ne se l'expliquait pas. Tout ce qu'elle savait c'est que son amie était étendue par terre et qu'elle se vidait de son sang. Machinalement, elle prit soin de bien fermer la porte et alla se laver les mains et le visage dans la salle de bain qui jouxtait la pièce maudite. |
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Diana : Il y a des chambres en haut, elle est allée se coucher. Frédérique : Je vais aller la rejoindre alors, parce que je commence à m'endormir sur place ! T'as pas l'air bien Diana, tu devrais venir avec moi !? Diana : NON ! Non, ça va, je te remercie... Je vais rester encore un peu... Frédérique : Bon, comme tu veux. Bonne nuit tout le monde ! Tous : Bonne nuit ! |
Esprit : J'ai besoin de ton souffle de vie pour renaître. Tu es à moi ! Une lumière l'aveugla et elle se protégea les yeux. Prise d'un tremblement incontrôlable, elle eut l'impression de se vider par le sommet du crâne. |
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En quelques secondes, elle ne devint à son tour plus qu'un corps froid, allongé à même le sol en pierre... |