La vie de couple

Tod se réveilla le premier pour préparer le petit déjeuner de sa douce. C'est que celle-ci devait aller travailler. Tod a été viré du Club de foot vu qu'il ne faisait aucun effort pour s'améliorer, et cette situation devint soudain embarrassante puisque Lucie allait ramener seule les sous pour la maison.

En plus, ce qui déplu beaucoup à Tod, c'est qu'elle allait travailler en maillot de bain !
- "Mais je ne comprends pas, je croyais que tu étais serveuse ?"
- "Oui, mais j'ai trouvé un boulot de maître nageur mieux rémunéré !"
- "Mais je ne veux pas que tu te trimballes en petite tenue toute la journée !"
- "Ben t'as qu'à trouver du travail pour nous deux !"

Tod prit au mot cette dispute et chercha un travail : employé de bureau.
- "Avec l'hôpital, je suis habitué à faire de la paperasserie. J'ai donc tout à fait le profil !"
En effet, l'employeur l'embaucha sans difficulté. Tod profita de sa dernière journée de chômage pour faire une maison nickel. Il téléphonera ensuite pour avoir une bonne et un jardinier. Maintenant qu'ils sont deux à travailler, il n'a plus à se priver !

Lucie rentra du travail en pleine forme : elle adorait ce poste ! Sans un mot, elle alla prendre sa douche et se changer. Les beaux jours sont là alors à bas les gros pulls, et vive la petite robe d'été sexy !
Comme elle n'avait quand même pas envie que son ménage ne marche pas, elle alla rejoindre Tod devant la télé

Elle prépara même le repas du soir ! Comme elle était encore pleine d'énergie, contrairement à Tod, elle changea la disposition de quelques meubles, accrocha les rideaux qu'elle avait achetés en rentrant du travail, et installa sa psyché, seul objet lui appartenant. Tod ne dit trop rien à tous ces changements, d'un parce qu'il n'en avait pas la force, et de deux parce qu'il voulait qu'elle se sente aussi chez elle.

Elle fit aussi connaissance avec le chat, qu'elle n'avait jusque là osé approcher. Il faut préciser qu'elle n'est pas très à l'aise avec les animaux, parce qu'elle n'en a jamais eu et que les tentatives d'approche se sont toujours conclues par des morsures, des coups de griffes et des grondements. Elle se méfie donc. Mais Gaffy est vraiment adorable et vient chercher les caresses, alors Lucie se laisse attendrir.

Mais voilà qu'au petit déj, les critiques et les humeurs sont de retour...
- "Mais pourquoi d'habilles-tu aussi sexy ? Avant avec ton gros pull tu étais très bien mais tu ne montrais pas ton corps à tout le monde !"
- "Il fait trop chaud pour les pulls, et je veux profiter du bronzage que j'ai obtenu grâce à mon boulot !"
- "Ben tu ferais p't-être bien de changer de boulot !"
- "Ne t'inquiètes pas, d'ici un jour ou deux, j'aurais droit à une promotion."

Tod et Lucie partent et rentrent du travail à la même heure. Tod a l'heureuse nouvelle d'annoncer sa promotion en tant qu'assistant de direction. En fait, il croit qu'il a tapé dans l'oeil de la patronne alors qu'il réparait la photocopieuse qui était encore une fois en panne. Mais ça, il ne le dit pas à Lucie !
Pour fêter ça, il propose à Lucie de l'emmener en ville pour choisir des nouveaux vêtements et pourquoi pas aller chez Pronupsims, voir pour le mariage.

Il l'emmène pour commencer dans le bon petit restaurant qu'il a testé avec Claire, en espérant mettre ainsi Lucie dans de bonnes dispositions pour la suite de la soirée, c'est à dire pour les achats... Compliments et pieds sous la table fusent pour le plus grand bonheur de cette dernière.

Ce gros coquin, pendant qu'il faisait essayer à Lucie une nuisette, entrouvre le rideau de la cabine. Et là à sa plus grande surprise, Lucie le tire à l'intérieur ! Et les voilà qui font des cochonneries ! Dans un grand magasin ! De renom en plus !

En tout cas, la nuisette plaît beaucoup à Tod, et il lui achète. Ca rappellera des bons souvenirs !

Il en profite pour demander au vendeur du magasin pour prendre rendez-vous pour un essayage de robe de mariée et de costumes. Seulement il n'en dit pas un mot à Lucie, au cas où elle se fâcherait...
Ils rentrent tous les deux de bonne humeur mais particulièrement fatigués.